J'arrive à la plaine et je siffle.
Mistigri vole autour de moi puis se pose.
Je m'incline de nouveau et il baisse la tête.
Je le caresse. Je le mène à sa grotte.
Puis je lui explique :
- Voilà. Je crois que tu as compris que je ne te voulais aucun mal ?
- Oui, répond t-il de sa grosse voix.
- Alors, veux-tu bien que je te monte.
Il me réponds alors.
- Moi oui. Je veux bien. Mon mental le veux.
Mais mon corps, lui qui a tellemnt souffert des êtres comme vous, les elfes, j'ai bien peur qu'il ne t'accepte pas.
- Je comprends. Tu veux mais lui ne veux pas.
Tu veux dire que tu ne pourras pas contrôler ton corps ?
- Oui, il y a des chances.
- D'accord. Mais je tente le coup.
Je le panse puis j'ammène une selle.
Je mets un tapis et il trésaille.
- Continue, me dit-il.
Je mis la selle et je sangla assez fort.
Au moins, elle, elle tiendra !
Je le fis alors sortir de la grotte.
Je me mis du côté gauche.
Je grimpa alors et je me mis en selle.
Il s'envola naturellement. Tout allait bien.
Mais bientôt, son anturel sauvage reprit le dessus.
Il se mit à bouger, à tanguer, et il se mit en tête de me désarconner en plein ciel.
Il me secoua, me donna des coups d'ailes.
J'était prête à tomber quand je vis un énorme dragon rouge, comme le mien arriver.
Il était beau, fort et sûrement musclé.
Et il ne semblait pas venir nous dire bonjour.
Je criais alors à mon dragon :
- Si tu veux sauver ta peau, mon garçon, il va falloir m'écouter.
Il s'arrêta immédiatement et regarda le dragon.
Pas besoin de dire oui, il avait compris.
Le mental avait pris le dessus.
Je sortis mon épée.
- Avance droit devant toi et arrête-toi vingts mètres avant lui !
Il s'éxécuta. Je parlais alors au dragon rouge.
- Que nous veux-tu ?
- Vous. Je veux vous tuer et prendre mon repas.
Belle perspective ...
- Ok ... Et bien, il va falloir vous battre avant ...
- Vous ne faites pas peur, bande de gamins !
- C'est ce qu'on va voir.
Je crais à mon dragon.
- Droit devant !
L'autre dragon ne réagit pas et rigola.
J'avançais.
Il se tourna vers moi et vit mon épée.
Trop tard.
Je venais de lui percer le poitrail.
Mince. J'ai dû laisser mon épée, elle est coicée.
Apparemment, cela n'a pas plus au dragon.
Il s'est mis à vouloir avaler sa salive. Mais c'était impossoble.
Il ne pouvait plus avaler, ni repiere.
mon épée bloquait le passage.
Au bout de quelques minutes, il tomba dans une descente infernale et toucha le sol.
Il était mort. Mort éttouffé.
Oui ! En espérant que sa bande ne vienne pas nous embêter !
- Tu me fais confiance maintenant ?
- Oui ! Plus que jamais répondit mon dragon.
Il se posa.
Je le deselle et je le panse.
Puis, je partit chercher mon épée.
Quand je l'eus enlevée, le corps du dragon devint poussière ...